Sobraga Les Boissons du Gabon

nos engagements

QUALITE

NOTRE PRIORITE, C’EST LA QUALITE !

Certifiée ISO 9001 et brasseur de bières de renommées internationales, chez Sobraga nous avons érigé la démarche qualité comme une priorité majeure pour tous nos produits.
Dans le cadre du processus d’amélioration continue, la Sobraga est en cours d’obtention des certifications internationales environnementales (ISO 14 001) et sécuritaires (ISO 18 001).
Des investissements sont réalisés chaque année sur l’outil de production pour arrimer notre technologie aux plus hauts standard internationaux en vigueur.
Grâce à l’expérience internationale du Groupe, les compétences de la Sobraga sont renforcées en permanence pour rester à la pointe de nos performances.

Qualité optimale des produits grâce à la traçabilité complète de la chaîne de production et des tests constants réalisés en laboratoire à chaque étape de la fabrication.

Hygiène maximale sur les sites de productions grâce à l’effectivité des Equipements de protections individuels et collectifs (EPI/EPC).

Sécurité garantie sur les sites par des outils de production modernes et sécurisés, utilisés dans le cadre de procédures de travail certifiées et suivies.

Environnement préservé grâce la mise en place de stations de traitement des eaux usées, et la maîtrise des dépenses énergétiques.

Extrait du magazine Marchés Africains (2014):

« LE CHOIX DE LA QUALITE
Le succès de cette politique industrielle, c’est le choix d’avoir misé sur la qualité des boissons produites localement, avec une politique d’investissements constants sur l’outil de production. Depuis l’installation de la première brasserie du pays en 1966 au cœur de l’actuelle capitale, la Sobraga n’a cessé d’investir massivement pour agrandir ses installations, moderniser sa technologie, et garantir une qualité de boisson arrimée aux plus hauts standards internationaux en vigueur. Certifiée ISO 9001 : 2008, la société passe avec brio ses audits de suivi depuis 2009, et prépare les certifications internationales sécuritaires et environnementales.

En Mars 2013, l’usine d’Owendo, qui concentre 70% des capacités de production, a été dotée d’une nouvelle salle à brasser à la pointe de la technologie moderne. Une acquisition qui permet d’ores et déjà de renforcer les capacités de production, tout en verrouillant la qualité des produits grâce à une traçabilité optimale des intrants et une maîtrise complète du processus de fabrication. Les sites de l’intérieur du pays ne sont pas en reste. Face à l’explosion de la demande à Mouila, dans le Sud du pays, depuis la réhabilitation du réseau routier de la province, près de 7 milliards sont en train d’être investis pour doubler les capacités de production sur ce site. Idem à Léconi, au Sud-Est du pays, où près de 3 milliards sont en train d’être investis pour renforcer la production de l’eau minérale préférée des Gabonais.

Depuis le début de l’année 2014, ce sont plus de 15 milliards de francs CFA qui ont été investis sur les sites de Franceville, Port-Gentil et Mouila. A Franceville, l’usine Sobraga vient d’être dotée d’une nouvelle salle à brasser de nouvelle technologie, correspondant aux plus hauts standards qualitatifs internationaux. Cette nouvelle salle à brasser, cœur du processus de fabrication de la bière, permet d’améliorer encore la qualité des bières produites, et double les capacités de production du site. Du côté de Port-Gentil, c’est une nouvelle ligne d’embouteillage qui a été installée pour plus de 2 milliards de francs CFA, et permet d’améliorer considérablement les capacités de production des boissons gazeuses en bouteilles plastiques. Cela permet d’ores et déjà de lutter contre le marché informel, souvent synonyme risques sanitaires (date limite de consommation dépassée, conditions d’entreposage et de transports douteuses, etc.). Enfin à Mouila, c’est une nouvelle ligne de production flambant neuve qui vient d’être inaugurée, permettant notamment un doublement de capacité et un bon technologique.

Le pari de la qualité a porté ses fruits pour la Sobraga, puisque grâce à la qualité de ses produits, et à la large gamme de boissons proposée, notamment de grandes marques internationales produites sous licence (Coca-Cola, Orangina, Guinness, etc.), la société parvient à fournir près de 95% de la demande nationale en boissons gazeuses, bières, vins et eaux ».

SOCIAL

De la première brasserie du Gabon mise en place en 1966 par Pierre Castel et feu le président Omar Bongo, la Sobraga est devenue un acteur économique majeur du pays, avec sept sites de production sur l’ensemble du territoire national, plus de 1 500 employés, et des milliers d’emplois indirects dans toutes les provinces et toutes les localités. Depuis les fondations de la société, le ciment de notre réussite demeure résolument dans la richesse des ressources humaines, des hommes et des femmes, qui font vivre notre belle entreprise. Voyage rétrospectif au cœur du dialogue social qui permet depuis plus d’une vingtaine d’années à notre société de relever avec succès tous les défis qui s’imposent à elle.

 

Selon une étude menée en 2011 auprès d’étudiants d’écoles supérieures de Libreville en fin de cycle, la Sobraga ferait partie des trois premières entreprises gabonaises que les jeunes cadres préféreraient intégrer au terme de leurs études. Outre le poids économique

de la société dans le paysage national, ce qui rend la Sobraga attrayante sur le marché du travail c’est sa stabilité sociale. Peu de grèves sont venues entacher cette image depuis la création de la société, et les revendications sociales ont toujours été traitées de façon amiable, grâce à l’instauration d’un dialogue social fort, et d’un contrat de confiance entre les employés et la direction générale. Ce dialogue social a été imposé par la formidable expansion de la société à travers l’ensemble du pays, augmentantconstamment le nombre d’employés à encadrer, à accompagner et à valoriser. Mais loin des conventions d’entreprises austères des grands groupes transnationaux, parfois éloignés des réalités sociales sur le terrain, la Sobraga a su conserver un mode de gestion familial de ses employés, ou plutôt des « membres » de la grande famille Castel. Jusqu’en 1994, la gestion des ressources humaines était assurée par un Directeur du personnel, ainsi qu’un chef

de service. Ce n’est qu’à la fin de l’année 1994 que sera mise en place une véritable Direction du Personnel, qui deviendra une Direction des Ressources Humaines à part entière dès 1998. La Direction des Ressources Humaines permet de gérer de nombreux domaines, intervenant à tous les stades de la « vie » des collaborateurs, notamment la définition des postes, le recrutement, gestion des carrières, formation, gestion de la paie et des rémunérations, l’évaluation des performances, la gestion des conflits, les relations sociales et syndicales, la motivation et l’implication du personnel, la communication interne, les conditions de travail, ou encore la justice et l’équité sociales au sein de l’entreprise. Le rôle premier de cette Direction à part entière est de valoriser les compétences, la motivation, l’information et l’organisation au sein de la société. Pour mener à bien cette tâche, la DRH nécessite des partenaires sociaux, des interlocuteurs capables de remonter l’information de la base salariale vers la direction générale. Les années 1990 voient l’essor fulgurant des centrales syndicales, et à l’époque la COSYGA et la CGSL s’installent au sein de l’entreprise pour porter la voix des employés. Mais la multiplicité des interlocuteurs étrangers à l’entreprise créait un climat social tendu. A la faveur d’une assemblée générale, le personnel optera pour la création d’un syndicat unique, le Syndicat des travailleurs des brasseries du Gabon (SYTRABGA), plus à même de défendre les intérêts matériels et moraux de ses membres, de regrouper l’ensemble des travailleurs du secteur brasseries, ainsi que de lutter pour la revalorisation et le respect des conventions collectives. Dans la foulée, les premières mesures visant à l’amélioration des conditions de travail des employés ont été mises en œuvre, notamment la segmentation du travail journalier en trois tranches de huit heures chacune, l’amélioration des conditions de transport du personnel, l’instauration des augmentations salariales annuelles de 2%, ou encore la mise en place des négociations sociales annuelles. L’expansion continue de notre activité entraîne des changements constants des conditions de travail et des effectifs. Au fil des ans, grâce à une concertation continue avec la base syndicale, la direction s’efforce d’améliorer les conditions de travail par des investissements infrastructurels continus, l’octroi d’avantages et privilèges aux employés, et le recrutement de nouveaux effectifs.

ENVIRONNEMENT

UNE DEMARCHE « ECO-RESPONSABLE »

Fort de ses succès industriels, la Sobraga a pris le parti il y a quelques années d’entrer dans un processus de développement « durable » de son activité. Un choix motivé par les impératifs environnementaux de notre époque, mais aussi et surtout par le poids économique et social de l’entreprise à l’échelle nationale, qui se doit d’être sécurisé et pérennisé. La réduction de l’empreinte environnementale de la Sobraga a été érigée en leitmotiv, et a permis un renforcement considérable du service Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement. Des services entiers sont aujourd’hui consacrés à l’étude de l’impact environnemental de l’activité brassicole, au renforcement des process qualitatifs de travail, au recyclage des déchets, et à la sensibilisation en interne sur ces sujets.

Le point d’orgue de cet engagement a résolument été l’inauguration historique de la première station de traitement des eaux usées du pays sur le site de production de Port-Gentil en Mars 2012. De type aérobie et d’une capacité de traitement de près de 700 m3/jour, cette station fait de la Sobraga une entreprise pionnière en matière de préservation de l’environnement au Gabon. La station de traitement des eaux usées de l’usine de Libreville, qui aura une capacité d’au moins 3 000 m3/jour, est en cours de construction et devrait être mise en service début 2014. Si les eaux usées représentent le premier facteur impactant de l’activité brassicole sur l’environnement, la démarche d’éco responsabilité de la Sobraga ne s’est pas arrêtée là, puisqu’à Libreville, une politique du « 100% recyclé » a été instaurée. Ainsi outre les eaux usées, tous les types de déchets sont récupérés et traités grâce à des partenaires locaux et internationaux. La drêche (résidu de malt bouilli) est récupérée par la Société avicole et meunière du Gabon (SMAG) qui la conditionne en cubes destinés via l’export à l’alimentation animale ; les déchets métalliques sont récupérés par une société locale et recyclés en Europe ; le traitement des déchets biomédicaux fait l’objet d’un contrat de traitement avec l’Hôpital militaire, et même les déchets informatiques parviennent à être recyclés via un partenaire local.

Mais l’engagement environnemental de la Sobraga, c’est aussi un choix industriel stratégique : celui du verre consigné. Grâce à une politique d’investissement continue sur le verre consigné, de la fabrication des bouteilles et des casiers à la chaîne d’embouteillage et de lavage, aujourd’hui plus de 8 boissons sur 10 vendues par la Sobraga sont conditionnées en verre consigné. Alors que les pays européens qui ont abandonné ce mode d’emballage depuis des années peinent à y revenir, avec des objectif ambitieux de 1% à 2% dans une dizaine d’années, le Gabon jouit d’une avance considérable sur cet emballage qui se dessine résolument aujourd’hui comme le créneau d’avenir pour les boissons de grande consommation. Avec 70% à 90% d’économie en eau et en énergie comparativement au verre perdu et aux emballages plastique et aluminium, le verre consigné est sans conteste l’emballage le plus écologique et le plus économique à l’heure actuelle.
FEDERER LES POPULATIONS AUTOUR DU DEFI ENVIRONNEMENTAL

2013 : PLAGES PROPRES

En parallèle de ces choix industriels et structurels forts pour la limitation de l’empreinte environnementale de la société, la Sobraga a initié de grandes campagnes d’actions et de sensibilisations sur les thèmes du recyclage, de la préservation environnementale et de l’amélioration du cadre de vie des populations. Le 20 Juillet 2013, plus de 1 150 volontaires, issus d’une quinzaine d’organismes associatifs, institutionnels et privés, ont pris part au lancement de l’opération « Plages Propres ». Plus de 400 000 litres de déchets ont été collectés sur 13 kms de plage dans la capitale, et 100 poubelles de plage ont été posées le long du littoral, entièrement recouverte de messages de sensibilisation à l’endroit des populations.

S’en est suivi la réalisation d’une sculpture monumentale de plus 4 mètres de haut par le célèbre plasticien camerounais Joseph Francis Sumegne, à partir de matériaux recyclés, notamment les boîtes de boissons collectés sur les plages de Libreville. La sculpture, inaugurée le 21 Septembre dernier, trône aujourd’hui sur le front de mer de Libreville, interpellant les passants sur les thèmes majeurs du recyclage et de la préservation de notre environnement.

A l’occasion de la dernière Journée Mondiale de l’Environnement célébrée le 5 Juin de chaque année, la Sobraga avait posé les jalons de cette vaste campagne de sensibilisation à long terme des populations, en publiant plus de 5 000 exemplaires du « Petit Manuel Illustré d’Eco-responsabilité », réalisé avec l’un des plus célèbres caricaturistes du pays, Pahé.